Tourné en dérision par Khan en tant que marionnette américaine, le nouveau Premier ministre pakistanais parie sur un centrisme libéral. Shehbaz Sharif cherche à rééquilibrer la politique étrangère envers les États-Unis.
Imran Khan qualifie son éviction de « changement de régime soutenu par les États-Unis ». Tourné en dérision par Khan en tant que marionnette américaine, c’est le nouveau Premier ministre pakistanais !
Le nouveau Premier ministre pakistanais pousse les mesures populistes. Va-t-il contrariere ce que la Chine projette, une refonte de l’initiative « la ceinture et la route » de Xi ?
Le Pakistan a obtenu un nouveau Premier ministre lundi après que le Parlement a expulsé l’ancienne star du cricket Imran Khan, et le président sri-lankais Gotabaya Rajapaksa fait face à la pression des manifestants pour qu’il démissionne. Avec les blocages de Covid-19 qui pèsent sur l’économie, Xi a suffisamment de problèmes à la maison pour s’en inquiéter. Pourtant, en fin de compte, la Chine travaillera probablement avec les deux pays pour restructurer leur dette, comme elle l’a récemment fait avec des gouvernements ailleurs dans le monde. Au lieu de réagir comme un prêteur prédateur, la Chine agit ces jours-ci davantage comme un parent déçu qui se sent responsable d’aider…
Les parlementaires du parti de Khan ont démissionné avant le vote. Le nouveau Premier ministre a été choisi après une semaine de drame politique. Le Premier ministre pakistanais Shehbaz Sharif a dévoilé une série de mesures populistes … Sharif, qui a la réputation d’être un administrateur favorable aux entreprises, a déclaré qu’il voulait faire du Pakistan un « paradis » pour les investissements afin de consolider une économie sous pression avec le déclin…
Écoutons l’analyse de Luc Michel, géopoliticien, à ce sujet.
* RADIO.LUCMICHEL
https://www.podcastics.com/profile/12075-radiolucmichel/
* LUCMICHEL-TV
https://vk.com/lucmicheltv