Au Liban les mouvements de la Résistance libanaise (Hezbollah) et d’Amal acceptent d’assister aux sessions du cabinet après un boycott de 3 mois au milieu de l’aggravation de la crise économique dans le pays.
Dans une déclaration commune, ils ont souligné que la seule solution à la crise actuelle est d’avoir un gouvernement fort qui peut gagner la confiance de tous.
Ils ont noté que le Liban est confronté à une crise économique et financière sans précédent, dont la principale manifestation est la dévaluation de la monnaie nationale et la forte baisse dans la fourniture des services de base aux citoyens.
Écoutons l’analyse de Luc Michel, géopoliticien, à ce sujet.
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