LM DAILY / COMPLEMENT 178 bis & 181 bis
LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE-TV
Voir l’émission ‘GRAND REPORTER’, tournée à chaud en Crimée, Luc MICHEL était les 13-18 mars 2014 (1), avec les équipes d’EODE et de ses partenaires, pour l’organisation du Monitoring international du Référendum d’autodétermination (2) :
* Voir sur EODE-TV:
EODE-TV & AFRIQUE MEDIA/
COMMENT LA CRIMEE EST REDEVENUE RUSSE/
UKRAINE VERSUS NOVOROSSIYA
ANALYSES DE REFERENCE :
* LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY/
LA QUESTION DE CRIMEE :
AU COEUR DE LA NOUVELLE GUERRE FROIDE 2.0 ET DE LA REMISE EN CAUSE PAR LA RUSSIE DU ‘NOUVEL ORDRE MONDIAL’
178
LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE
* LUC MICHEL’S GEOPOLITICAL DAILY/
LA QUESTION DE CRIMEE (II) :
EN CRIMEE, POUTINE SALUE LE RETABLISSEMENT D’UNE ‘JUSTICE HISTORIQUE’ ET LE REFERENDUM DE MARS 2014
181
LUC MICHEL (ЛЮК МИШЕЛЬ) & EODE
NOTES :
(1) Luc MICHEL en a été un des acteurs, en organisant avec EODE le monitoring du Référendum d’auto-détermination de la Crimée et de Sébastopol en mars 2014, mettant en échec à la fois l’UE, l’OSCE et l’OTAN. EODE – Observatoire eurasien pour la Démocratie et les Elections – a été directement impliquée dans le référendum de Crimée. EODE était l’ONG en charge de l’organisation de la «Mission internationale de monitoring du référendum » …
EODE est un Think-Tank (spécialisé dans les analyses géopolitiques et idéologiques) et une Ong présente en UE, CIS, Afrique, qui pratique un « monitoring non-aligné », non liée aux organisations occidentales et opposée à l’idéologie occidentale, avec une expérience de près de 10 ans dans toute l’Europe de l’Est. EODE est aussi spécialisées dans les « républiques auto-proclamées » (Abkhazie, Transdniestrie, Nagorny-Karabagh), où elle a effectué missions et audit, notamment pour le Référendum de 2006 en Pridnestrovie (Transdniestrie ou PMR). EODE procède de façon professionnelle (nous travaillons suivant les standards et protocoles de l’OSCE) et son travail vise à soutenir la démocratie en action …
(2) Fin février 2014, refusant le nouveau gouvernement pro-occidental arrivé au pouvoir à Kiev par le putsch du 21 février, les élus du parlement de Crimée s’étaient prononcés en faveur du rattachement de la péninsule à la Russie et avaient décidé que cette décision serait soumise à référendum parmi la population, majoritairement russophone, de la région. Les électeurs de la péninsule de deux millions d’habitants à majorité russophone, stratégique pour Moscou, avaient le choix lors du référendum du 16 février 2014 entre un rattachement à la Russie ou une autonomie nettement renforcée. Ce référendum, mécanisme essentiel de la Démocratie Directe, la seule réellement effective, dérangeait beaucoup. Aux grandes opérations diplomatiques des occidentaux pour délégitimer ce référendum correspondait une campagne médiatique de même nature. Ainsi la presse des USA et de l’UE se répandait en articles incendiaires sur le caractère douteux de ce référendum. Notamment écrit Libération (Paris), parce qu’il se ferait « en l’absence d’observateurs internationaux » …
Grossière erreur ! Et désinformation maladroite …
A la demande des autorités de la République autonome de Crimée et du Parlement de Crimée, et en raison de notre non-alignement et de notre expérience depuis 2006, EODE organisait en effet une MISSION INTERNATIONALE DE MONITORING DU REFERENDUM les 14/15/16/17/18 mars 2014.
A noter que invitée l’OSCE avait refusé par la voix de son président. De même que le Parlement Européen. Des instructions et même des interdictions de participer à notre mission ont été données dans de nombreux pays de l’UE. Et des pressions honteuses exercées sur des parlementaires – en Suisse, en France et en Irlande notamment – pour les faire renoncer à leur participation.
* La mission d’EODE était pluraliste et non-alignée :
Elle était composée de députés de différents niveaux et d’experts, de différentes idéologies, de droite comme de gauche ou ne s’inscrivant pas dans la logique du système occidental, y compris des indépendantistes républicains (intéressés au premier chef par le processus) de Catalogne (Espagne) et de Flandre (Belgique). Il y avait notamment des élus et des experts de Belgique, Espagne, Pologne, Hongrie, Italie, Israël, Allemagne, France, Turquie, Russie, Kyrgistan, Belarus, Autriche, Finlande, Lettonie … Plus de 130 représentants (finalement) de pays étrangers avaient observés le déroulement du référendum du 16 mars.
* Agir au cœur de l’Histoire :
Avec ses réseaux transnationaux, mobilisés pour la Mission internationale de monitoring du référendum en Crimée de l’Ong EODE qu’il administre, Luc MICHEL a pris une part décisive à l’organisation et la validation de ce référendum. Car une des conditions de celle-ci est précisément la présence d’observateurs internationaux. La petite Ong, qui repose sur des professionnels, mais mobilisés sans aucune motivation lucrative pour faire avancer la cause de la démocratie réelle et du droit des peuples, a donc damné le pion à la puissante OSCE et au Conseil de l’Europe. Dont le refus de venir visait à délégitimer le référendum …
Cette mission difficile, dans des délais dignes de « Mission impossible », sous la pression de tout le système politico-médiatique occidental, a été menée avec succès et efficacité. Ce que concèdent les médias de l’OTAN. « Certains parlent, analysent, jouent aux journalistes, toujours après l’événement, sans influence sur le réel. Ceux là écrivent. Nous nous agissons. Avec le vieux Marx, je pense que les idées n’ont de sens que si elles servent à changer le monde, à le faire bouger. Avec le Peuple de Crimée, ce dimanche du 16 mars 2014 nous avons fait l’Histoire », dit Luc MICHEL …
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