La Société Générale des Banques en Guinée-Equatoriale vient de commettre l’irréparable. Il s’agit de la violation flagrante du secret bancaire dans l’affaire des supposés « biens mal acquis ». Des documents confidentiels et bien d’autres transactions bancaires auraient été remis de source sûre à la justice Française pour condamner et acculer Teodoro Nguema Obiang Mangue Vice-Président de la Guinée-Équatoriale qui est depuis plusieurs années victime d’un lourd complot et d’une cabale médiatique bien orientée. Qui aurait pu imaginer que sa propre Banque serait aussi impliquée dans cette mascarade ? Comme quoi la vérité fini toujours par triompher. Et chacun rendra compte de ses actes devant qui de droit.
Le secret Bancaire est l’obligation à laquelle est tenu le personnel d’une banque de ne pas divulguer les informations détenues sur un client à d’autres personnes que celles qui y sont autorisées par la loi. Le secret Bancaire est encadré par l’article 511-33 du code monétaire et financier. La violation de cette obligation est passible de sanctions pénales. La banque peut être condamnée à payer des dommages- intérêts au profit des personnes qui auraient subi un préjudice du fait de cette indiscrétion. C’est exactement la situation qui prévaut actuellement entre Tedoro Nguema Obiang Mangue et la société générale des Banques en Guinée-Équatoriale, qui vient d’être pris la main dans le sac, à tel point que les langues se délient. Un scandale de trop qui vient éclabousser une banque au cœur d’un lourd complot et qui coopère avec les détracteurs du Vice-Président depuis plusieurs années dans l’ombre, avec des arrangements obscurs pour détruire un seul homme !
Après le verdict de la Cour Internationale de Justice qui s’est clairement positionnée sur la violation du caractère diplomatique de l’immeuble qui loge la représentation diplomatique de la Guinée-Équatoriale situé au 42 Avenue Foch et les actes illégales commises par la justice Française en complicité avec William Bourdon et ses associés Sherpa et Transparency Internationale, la rédaction de Latrovoz dans ses investigations vient de prendre connaissance des machinations diaboliques orchestrées par les mêmes piètres personnages du cercle de William Bourdon cités plus haut. Ces derniers ont élaboré des dossiers fabriqués de toute pièce en y incluant des sommes rocambolesque à plusieurs millions d’euros, avec des faux témoignages et des documents obtenus frauduleusement pour camoufler un contenu juridique vide de sens. Ce complot qui vise la déstabilisation de tout un pays a été orchestré depuis Paris avec en prime des informations erronées.
Au final, les masques tombent après de sérieuses investigations menées par notre jeune et dynamique rédaction Laotravoz, il ressort clairement que la Société Générale des Banques en Guinée-Équatoriale a commis un acte hautement gravissime qui pourrait avoir des conséquences irréversibles. Un gros scandale qui fait couler beaucoup d’encre et de salive, à tel point que les principaux acteurs concernés par cette haute trahison ne savent plus où donner de la tête. Honteux et confus, ils répondront de leurs actes de violation du secret bancaire. Teodoro Nguema Obiang Mangue est client dans cette banque depuis son installation dans les années 80. Aucune opération frauduleuse n’a été enregistrée, ni avertissement ou autre transaction illégale. Comment expliquer cette violation soudaine des lois des secrets bancaires, en allant jusqu’à soustraire l’extrait du compte bancaire de Teodoro Nguema Obiang Mangue pour le remettre à la justice Française dans le but de discréditer ce digne fils du pays.
Les lois bancaires sont strictes sur la violation du secret professionnel. Aucune banque sérieuse au monde n’aurait rendu public un extrait de compte d’un client sans avoir de conflit judiciaire avec ce dernier. C’est un manque de professionnalisme aggravé et une envie délibérée de nuire au client Teodoro Nguema Obiang Mangue. Cette banque aurait été l’objet de menaces et de pressions par la Justice Française qui fait désormais de l’aboutissement de ce procès un challenge au point de violer les lois et règlements en vigueur. Ce que la justice Française semble ignorer c’est que la Guinée-Équatoriale est un pays membre de la zone monétaire Francs CFA approuvé par le trésor Français et donc aucune transaction bancaire frauduleuse n’est pas possible.
De plus, toutes les opérations transitent des banques commerciales à l’instar de la Société Générale à la Banque centrale des Etats de la CEMAC et toutes ces transactions se font au trésor Français pour tout paiement à l’intérieur ou hors de la zone. Donc cet acharnement contre le Vice-Président n’a aucun sens et s’apparente à des règlements de compte. Supposons qu’il y ait eu des opérations illégales, comment expliquer la politique de l’autruche pratiquée par cette banque ? En réalité, il n’y a rien eu de tel. Cette banque a joué un très mauvais rôle dans le dossier des soi-disant « biens mal acquis ». Comment expliquer la disparition soudaine de la Société Générale dans le dossier comme imputé ?C’est tout simplement parce qu’il y a eu des arrangements au noir avec la justice Française. Cette banque a monnayé son impunité [sur je ne sais quel autre dossier] en violant les lois avec en échange des extraits de compte personnel du Vice-Président comme monnaie d’échange.
C’est une mafia bien organisée et des actes dignes des gangsters entre la justice Française et la Société Générale des Banques en Guinée-Equatoriale. Ce dossier des soi-disant « biens mal acquis » ressemble désormais à une pièce théâtrale. Pour la rédaction de Laotravoz, toutes ces irrégularités et ces complots dans lesquels la justice Française se retrouve entachée doit les pousser à mettre un terme à ce procès qui risque de réduire à moins l’infini les hautes instances juridiques Françaises qui ont récemment été désavouées par la Haute Cour Internationale de justice de la Haye avec la reconnaissance du caractère diplomatique de l’immeuble situé au 42 avenue Foch.
Du côté de la Guinée-Équatoriale, après la violation du secret bancaire par la Société Générale, une enquête sérieuse a été diligentée et force restera à la loi ! Advienne que pourra ! A bon entendeur !!!
P. AGNIGNA
(Source : LAOTRAVOZ.INFO)