Edité par Luc MICHEL
Avec EGTV/
Avec Le Visionnaire, Journal d’avant-garde de la Guinée-Équatoriale/
2023 05 23
Avec le journal « Le Monde » (Réseaux Söros), tout est préétabli lorsqu’il s’agit de la Guinée-équatoriale :
Informer, est une mission exaltante mais difficile, le journal « Le Monde » doit penser à sa réputation (usurpée) et être à la place qui est la sienne, en livrant une information équilibrée. Un journal aussi connu ne peut pas écouter qu’un seul son. Fut-il une correspondance particulière. Considérer les propos d’une seule partie dans une affaire dans laquelle, l’image d’un pays entier est engagée, est la plus grave erreur d’un média qui a acquis ses lettres de noblesse par le sérieux de son travail. Et ses exigences stricts.
Des deux journalistes, Mathilde Bousson et Pierre Lepdi qui ont co-signé l’article publié ce lundi 15 mai 2023 sur le site internet du journal « Le Monde« , intitulé : » La croisade d’un homme d’affaires sud-africain contre le clan du président Obiang », aucun d’eux, n’a pris la peine de se rapprocher du vice-président de la Guinée, de ses services ou du moins de l’ambassade de ce pays en France pour demander l’autre version. Pour savoir ce qu’il en est de cette affaire.
Réellement. Nous vivons actuellement dans un monde où la qualité de l’information, la vérification des sources, le respect de la déontologie et de l’éthique, sont très largement pris en compte. Avec les médias new-âge, les lecteurs ne se font pas prier. Ils veulent une société juste, une presse libre et indépendante. Une presse qui lutte contre les inégalités. Malheureusement, en lisant l’article du journal « Le Monde« , on remarque des privilèges d’une part; et une mise à mort; d’autre part.
Le journal » Le Monde » n’a pas cherché la vérité. C’est l’impression qui se dégage. Comme un acharnement. Comme si l’objectif était de s’en prendre, une fois de plus, une fois encore au vice-président de la Guinée-équatoriale. De lui savonner la planche.
Le journaliste doit prendre garde dans ses écrits. Il doit assumer cette mission. Il doit surtout éviter les affirmations trop excessives lorsqu’il n’a pas interrogé l’autre partie. L’article du « Monde » brise les ressorts même du journalisme. Tout ce que dit Jansen est pris pour « sûr ». Comme si tout est préétabli lorsqu’il s’agit de Teodoro Nguema Obiang Mangue et de son pays, la République de Guinée-équatoriale.
Or, de nos jours les lecteurs veulent la vérité. Cette vérité que le journal « Le Monde« ne veut pas chercher. Le vice-président de la République de Guinée-équatoriale, n’a rien à avoir avec Daniel Janse van Rensburg .
En Guinée-équatoriale, les investisseurs sont les bienvenus.
Nous n’avons pas manqué de constater que ce que raconte Daniel Janse van Rensburg, n’est qu’une invention.
UN SCENARIO DE CINEMA.
Notamment en ce qui concerne le vice-président de la Guinée-équatoriale et le reste de la famille Obiang. Daniel Janse van Rensburg, n’était pas allé en Guinée à l’invitation de la famille présidentielle. Il y était allé pour boucler le montage d’une société d’aviation avec un Equato-Guinéen, qui est, décédé Gabriel MBA Béla dit. » Angabi « , ancien maire de Malabo..
Le Sud-Africain Janse fait des accusations gratuites. Il a un livre à vendre : »Black Beach, 491 days in one of Africa most brutal prison ». On le comprend. Mais cela ne justifie pas de s’en prendre de manière aussi perfide à la famille Obiang et principalement à Teodoro Nguema Obiang Mangue.Tout juste parce que certaines personnes très malintentionnées, l’ont traîné dans la boue pour une acquisition immobilière en France. Une seule.
La publication du journal « Le Monde » est une répétition orientée.
IL N’ Y A AUCUNE RELATION ENTRE LE VICE-PRESIDENT DE LA GUINEE-EQUATORIALE ET DANIEL JANSE VAN RENSBURG.
Teodoro Nguema Obiang Mangue n’a jamais crée de compagnie aérienne. Pour avoir un conflit avec Daniel Jansen. Il n’a jamais eu de contacts avec ce-dernier..Il y a dans cet article du journal « Le Monde », une mauvaise foi. Un grand journal comme « Le Monde » qui revient sur une affaire qui s’est déroulée dans un autre pays. Sans preuves ? Il y a de quoi s’interroger !
Par ailleurs, il faut signaler que la prison dont parle l’homme d’affaires Sud-africain, celle qu’il présente comme « one of the most brutal prisons », n’en est pas une. C’est un gros mensonge. Puisqu’un autre prisonnier, a dit la vérité. Car Black Beach, n’est pas Alcatraz. Elle n’est pas non plus, la prison de Robben island. Simon Man avait déclaré que Black Beach n’est pas ce que l’on raconte. Il y a vécu. Il a voulu éclairer la lanterne de tous.
Photo :
Le vice-président de la Guinée-équatoriale, est serein. Le journal « Le Monde » croit aux dires d’un homme qui s’agite.Qui ment comme il respire. Pour capter l’argent de la Guinée-équatoriale. Parce qu’il croit qu’il y en a, à distribuer. La Guinée-équatoriale a des principes et des règles. Le chantage, la manipulation et l’escroquerie, elle les répugne. Daniel Janse van Rensburg n’était pas en Guinée-équatoriale pour rencontrer son vice-président.
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