Tout sur la déstabilisation du Congo Brazzaville (PARTIE 4 sur 4) :
Une grande analyse du Géopoliticien Luc Michel pour
le MAGAZINE INTERNATIONAL AFRIQUE MEDIA …
Luc MICHEL pour
MAGAZINE INTERNATIONAL AFRIQUE MEDIA/
2017 10 12/ (IV)
# 1/
LES AFFAIRES DES TROIS PAYS – CONGO BRAZZAVILLE, GABON, GUINEE EQATORIALE – C’EST UN COMPLOT DE DESTABILISATION DES TROIS ETATS PETRO-GAZIERS : TOUT EST LIE !
Il faut dire un mot sur la relance apparente du volet Congo-Brazzaville de l’affaire dite des « BIENS MAL ACQUIS » (BMA). J’avais annoncé dès le mois de septembre de l’année passée, et puis au mois de janvier de cette année, qu’on organisait la relance des procès des BMA, celle du Gabon, du Congo-Brazzaville et celle de la Guinée-équatoriale.
On a appris à l’été 2017 que des proches du Président Sassou Nguesso avaient été mis en examen à Paris. La fille et le gendre du président Sassou Nguesso sont visés. L’avis d’un orfèvre en la matière, l’Ambassadeur à Paris de la Guinée-équatoriale Miguel Oyono, qui suit au jour le jour ces affaires, me disait « qu’il s’agit d’un simple prétexte afin de faire un effet d’annonce dans le procès qui est fait à la Guinée-équatoriale ». Et surtout pour essayrr de décharger la puissance extraordinaire que va avoir le témoignage du mercenaire Simon Mann dans le procès fait à Paris au Vice-président de Guinée Equatoriale. Il y a une technique en Justice. On appelle cela la technique dite « des charrettes ». Elle vient des années de la Révolution française où on guillotinait les adversaires de la Révolution. Et pour prouver des soi-disant complots, on organisait des « charrettes » de guillotinés. C’est ce qu’on fait ici dans l’affaire des BMA.
QU’EST-CE QUE L’ON SAIT SUR LE FOND DE CETTE AFFAIRE ?
Qu’est-ce que l’on sait sur le fond de cette affaire ? Il y a évidemment le gouvernement de Sassou Nguesso qui s’est éloigné de la Françafrique.
Il a été victime lors de la présidentielle l’année dernière, en mars 2016 (voir la Partie III ce cette analyse) d’une tentative avortée de « révolution de couleur ». Il y a eu des faits très graves puisqu’on a pas hésité à mener une campagne de fausses nouvelles, de « fake news ». Les media occidentaux qui n’hésitent pas à dénoncer les « fake news » sont les premiers à en faire et à les diffuser. On a vu des fausses nouvelles annonçant par exemple la victoire d’un des opposants de Sassou Nguesso lors du jour même de l’élection. C’est la technique qui a été repris par Jean Ping lors des dernières élections au Gabon. On a vu le lundi matin après la présidentielle, une centaine de sites Internet annoncer que Sassou Nguesso « avait été abattu à la sortie de la Présidence » sic), que « la Première Dame était réfugiée à l’ambassade de France » (resic) et que le « régime s’effondrait » (resic). Tout cela était mensonge ! Sassou Nguesso rentrait chez lui après avoir fêté sa victoire avec ses partisans.
On a vu aussi des tentatives insurrectionnelles armées avec des terroristes. Quand ce sont des terroristes au Congo-brazzaville, ce ne sont pas des terroristes. Quand ce sont des terroristes au Burundi, on ne dit pas que ce sont pas des terroristes. On dit que ce sont des « ninja ». On dit que ce sont « d’anciennes milices révoltées ». Le procédé est toujours le même.
Il y a encore aujourd’hui une guérilla armée qui touche encore certaines zones du Congo-Brazzaville. Elle est bien évidemment armée et organisée par l’étranger !
Il y a derrière tout cela le retrait de la Françafrique de Sassou Nguesso. Et la réorientation de son Etat vers la Chine, en commençant par les exportations de pétrole. On se souvient alors que le Parti Congolais du Travail, c’est à l’origine un parti maoïste et qu’il a gardé des liens extrêmement fort avec les Chinois.
DES PRETEXTES SANS FIN …
On a donc pris des prétextes. On a mis en examen au mois de mars son neveu Wilfrid Nguesso. Puis, il y a eu Juliette Sassou Nguesso et son mari fin juin. On l’a annoncé comme par hasard à quelques heures de la réouverture du procès des BMA volet Guinée-équatoriale.
J’ai toujours insisté la-dessus. Les affaires des trois pays, c’est un complot de déstabilisation des états pétro-gaziers. Tout est lié !
Qu’est-ce qui lie les trois familles ?
Le fait que leurs pays sont des puissances exportatrices de pétrole et pas du tout les soi-disant affaires des BMA, qui ont été montées par la suite.
On se rappellera que ces affaires ont été lancées depuis les Etats-Unis en 2008-2009. Et après un recul du Parquet français, parce qu’à ce moment-là le régime Sarkozy n’en voulait pas, on a vu Hollande se précipiter dedans. Et depuis 2010, le Parquet financier de Paris avec des méthodes qui violent le Droit international, enquête, monte des dossiers, tente d’organiser des procès. On se rappellera encore d’une chose, c’est que lorsque l’affaire sera lancée dans le volet équato-guinéen, c’est le Président Obiang Nguema Mbasogo qui est visé. les juges français et les juges américains découvre très vite qu’il n’a de biens ni aux Etats-Unis, ni en France. Il n’y a donc pas de moyen de lui reprocher des BMA et de les lui saisir illégalement. Donc, il faut trouver quelqu’un d’autre. Et ce sera ainsi son fils Teodoro Mangue Obiang Gnema, qui est un homme d’affaires prospère à l’époque. Et l’affaire commence pour Malabo !
On voit dans les communiqués de presse lancés régulièrement sur « les ennuis de la famille Sassou Nguesso » des rumeurs transformées en infos tout cela lié à l’affaire trouble des « Panama Papers ». Et on voit aussi en Afrique, à partir du Sénégal, un réseau d’espionnage qui se dissimule derrière la soi-disant « Plate-forme africaine de protection des lanceurs d’alertes » de l’avocat William Bourdon et des réseaux Sorös. C’est l’univers trouble entre media alternatifs, services secrets et barbouzeries. Les fameux Wikileaks, d’Assange, de Snowden, etc.
Tout cela dans l’affaire des BMA est bidon. Il n’y a pas de comptes off shore. Il n’y a pas de paradis fiscaux. Dans le cas de la Guinée Equatoriale, Il y a de l’argent qui a transité dans les organismes bancaires officiels au sein de la zone CFA, dont on rappelle que la Guinée-équatoriale est membre. Cet argent est venu directement de Guinée-équatoriale par la chambre de compensation du Franc CFA en France. Il a servi à l’achat de biens, meubles et immeubles pour lesquels l’administration fiscale française et les douanes ont donné leur accord. Et surtout, on le rappelle tout de même, tous les droits de taxation en France ont été payés. On est dans un complot monté de toutes pièces avec des aspects ubuesques.
Il y a une dernière chose qu’il faut dire clairement. On essaye aussi d’établir des liens avec Sassou Nguesso et Omar Bongo. En oubliant que ce dernier n’est plus au pouvoir et que son fils, qui lui a succédé à la présidence du Gabon, n’a rien à se reprocher. Une seule chose que lui reproche réellement Paris, c’est que comme Sassou Nguesso, il a tourné le dos à la Françafrique. Il prend de plus en plus de positions panafricanistes. Et s’est dirigé lui aussi vers la Chine où il a conduit à la fin de l’année 2016, un grand voyage diplomatique où il a été reçu comme le Chef d’État d’un grand pays.
# 2/
DES « BIENS MAL ACQUIS » AU « PETROLE MAL VENDU » :
LE VOLET SUISSE
Un volet parallèle aux « biens mal acquis » (BMA) (1) est en cours de préparation depuis au moins le début 2015 (2) Elle cible particulièrement la Guinée Equatoriale et le Congo Brazzaville . On pourrait l’appeler le « pétrole mal vendus ».
L’affaire a déjà été annoncée dans la presse suisse et internationale en 2015 est en phase de constitution des dossiers.
Plusieurs ONG suisses mènent des campagnes depuis les Années 2007-2008 sur les « biens mal acquis »: à Bâle, « Action place financière Suisse » suit « les développements concernant la fortune d’une douzaine de potentats ». De son côté, la « Déclaration de Berne » (devenue récemment « Public Eye ») « s’est alors beaucoup investie dans l’affaire concernant des transferts douteux sur un compte bancaire à Genève de millions de dollars à la fin des années 1990, provenant de revenus pétroliers destinés au remboursement de la dette angolaise envers la Russie », dit LE COURRER.CH (22 avril 2008). C’est l’époque où les réseaux Sorös se focalisent sur les Affaires BMA ! « Biens mal acquis: la France donne des idées à la Suisse » titre alors Le courrier.ch …
LES VENTES DE PETROLE AFRICAIN EN SUISSE PROCHAINE CIBLE DE L’AFFAIRE DITE ‘DES BIENS MAL ACQUIS’
Le cœur en est la Suisse, Berne (et aussi Genève) étant avec Hong-Kong la place internationale du négoce du pétrole et des hydrocarbures. Et Hong-Kong sous souveraineté chinoise – Pékin ayant apporté un soutien diplomatique et politique à Libreville, Brazzaville et Malabo contre Paris dans les dossiers des BMA – étant inaccessible aux maneuvres occidentales (ceci d’autant plus que les occidentaux tentent une révolution de couleur à Hong-Kong, la « révolution des parapluies » ou « Occupy Hong-Kong ») (3), restait Berne …
Acteurs :
le Quai d’Orsay, le Parquet financier de Paris, le Parquet suisse (qui après de spectaculaires dossiers de blanchiment et d’évasion fiscale, notamment le Dossier UBS, a capitulé devant les fiscs américain, français et allemand), le presse des réseaux Söros (dont le cœur est « Le Monde Afrique » financé officiellement par la Fondation OSIWA en Afrique du Sud) (4).
Initiateurs :
Söros, Total, l’inévitable Me Bourdon, Transparency International, deux Ong suisses qui servent de paravent aux précédents : « La Déclaration de Berne » (devenue aujourd’hui « Public Eye » et « Swiss Aid », et l’Ong suédoise SIDA.
Les buts de cette nouvelle déstabilisation :
* s’en prendre aux ventes de pétrole des états africains, les faire mettre sous contrôle de l’ONU, prolonger au cœur de l’économie africaine les « biens mal acquis ».
* Mais aussi saper les marchés pétroliers des états concernés et le prix de vente de leur hydrocarbures (on se souviendra que le soi-disant « philanthrope » Söros est un très grand spéculateur international, fortune de 34 milliards de $).
Opération donc infiniment plus vaste que les « biens mal acquis » et plus dangereuse !
Sont visés :
Encore et toujours des états africains !
Les trois états des « biens mal acquis » – Guinée Equatoriale, Congo Brazzaville, Gabon -, mais aussi le Tchad, le président Biya au Cameroun, la famille Dos Santos en Angola et la famille Kabila en RDC. Le président du Tchad est aussi visé, avec sa famille et la Première Dame.
# 3/
APRES PARIS LE CONGO DU PRESIDENT NSASSOU NGUESSO CIBLE EN SUISSE
Dès 2015, la famille Sassou Nguesso est ciblée en Suisse. RFI titre alors (2 mars 2015) « Le fils du chef de l’Etat congolais est épinglé par une ONG suisse de lutte contre la corruption. Selon cette organisation, Denis-Christel Sassou-Nguesso puiserait dans les revenus pétroliers du Congo, via une société basée à Genève ». « C’est l’ONG La Déclaration de Berne qui soulève le lièvre, dit RFI. A l’appui de certains documents transmis par un lanceur d’alerte, elle met en cause Denis-Christel Sassou-Nguesso (…) Le dossier du détournement fait l’objet d’une large publicité en Suisse. La presse y consacre de nombreux articles ». Pas étonnant quand on voit les appareils d’état, les réseaux internatonaux et les multinationales occdentales qui se proflent derrière ces affaires …
LE « DOSSIER ORION OIL »
Le grand quotidien genevois LE TEMPS (lié éditorialement au MONDE de Paris, financé par Sorös) (4) explique (uniquement à charge) comment « la Suisse cible le président congolais et son clan » (5), mais évoque aussi « Les enquêteurs français », « L’essentiel de l’enquête suisse a été transmis à la France en janvier dernier » (les parquets de Paris et de Berne agissant de connivence : « La société vaudoise Orion Oil appartient aux hommes de confiance de l’inamovible président congolais Denis Sassou-Nguesso. La justice suisse enquête sur son directeur pour blanchiment d’argent et corruption. Le cas illustre les liens secrets entre négoce pétrolier et dictatures ». On est au centre de la thématique développée par Me Bourdon et ses comparses.
« La Suisse a massivement collaboré avec la justice française et enquête (…) depuis 2012 au moins. Le Tribunal pénal fédéral a rendu dans cette affaire deux arrêts, malheureusement assez peu explicites sur les faits: RR.2015.227 et RR.2015.98. Les enquêtes suisse et française s’inscrivent dans la procédure dite des «biens mal acquis». Lancée par une plainte de l’ONG Transparency International ».
Le Temps précise que sont visés « le gaspillage de la richesse pétrolière dans les pays les plus pauvres du monde » et un homme, « L’ancien banquier est surtout l’homme de confiance de la famille du président congolais Denis Sassou-Nguesso pour tout ce qui concerne la finance offshore », à qui le procureur promet un « un procès retentissant devant la Cour des affaires pénales de Bellinzone. Poursuivi pour blanchiment aggravé, le Français risque jusqu’à cinq ans de prison (…) Le sexagénaire est associé avec le plus flamboyant trader pétrolier du Congo, Lucien Ebata, à la tête du groupe Orion Oil ». « En Suisse, l’un des centres du pétrole africain, certaines sociétés de négoce ne naissent et ne grandissent que grâce aux faveurs des dirigeants des pays producteurs. Orion Oil en offre un exemple particulièrement pur, que Le Temps a pu documenter ».
LE PETROLE CONGOLAIS EN LIGNE DE MIRE
A peine plus petite que l’Allemagne, peuplée de 4,7 millions d’habitants, la République du Congo – ou Congo Brazzaville – (à ne pas confondre avec son voisin géant, la République Démocratique du Congo) produit environ 250’000 barils de pétrole par jour, ce qui la place au 33e rang mondial. Le pétrole représente 75% des revenus de l’Etat.
Comme l’avoue le grand quotidien genevois LE TEMPS, la cible ce sont le Consortium congolais Orion Oil, « son pétrole et ses banques » (6) … ORION OIL est au cœur du pétrole congolais et du pouvoir de Brazzaville. C’est notamment la « 1re entreprise privée de trading pétrolier d’Afrique Centrale et de l’Ouest ».
Le Temps donne la dimension géoéconomique de ce consortium : « Les banques occidentales étant devenues plus regardantes sur leurs partenaires d’affaires, les banques africaines ont pris le relais pour financer certaines sociétés issues du continent noir. En décembre 2015, Orion a levé 580 millions de dollars en crédit export auprès de quatre banques africaines, afin d’assurer notamment le préfinancement à l’exportation de cargaisons de pétrole. Deux ans auparavant, 500 millions de dollars avaient été levés auprès de Ecobank Capital, dédiés au prépaiement de cargaisons de pétrole brut fournies par la Société Nationale des Pétroles du Congo (SNPC). Orion et la SNPC venaient de signer un accord commercial portant sur un programme d’allocation de pétrole brut d’une durée de 24. Cette quasi osmose avec la SNPC a permis à la société de Lucien Ebata de grossir. À l’été 2015, le groupe a racheté à la Petroci (la société nationale pétrolière de Côte d’Ivoire) qui est au bord de la faillite, ses parts dans le champ pétrolier MKB (Mengo-Kundji-Bindi), situé à la frontière avec l’enclave angolaise du Cabinda, devenant ainsi actionnaire à 40% des parts, alors que le reste appartient à la SNPC (…) En octobre 2014, Orion et la SNPC ont aussi levé un financement d’1,5 milliard de dollars pour le développement de champs pétroliers au large de la côte atlantique congolaise: Moho Nord, Moho Bilondo, LIANZI et MKB. »
« Orion Oil se profile comme l’un des principaux robinets du pétrole du Congo-Brazzaville, travaillant main dans la main avec la société d’Etat SNPC, qui lui octroierait en moyenne 8 cargaisons de pétrole brut par an, selon plusieurs sources. Un volume énorme (…) Orion détiendrait aussi le monopole de fait pour l’approvisionnement en produits pétroliers du pays », toujours selon Le Temps.
LES SOURCES DES MEDIAS SUISSES ET FRANÇAIS OU LE SERPENT QUI SE MORD LA QUEUE : LES ONG (PUBLIC EYE, TRANSPARENCY ET CIE) QUI ONT MONTE LES DOSSIERS…
Parmi les sources du Temps « Marc Guéniat, spécialiste du trading de matières premières pour l’ONG Déclaration de Berne ». Et l’inévitable Me Bourdon ! « L’essentiel de l’enquête suisse a été transmis à la France en janvier dernier. Selon William Bourdon, avocat parisien de Transparency international, à l’origine des procédures, «la preuve est apportée aujourd’hui que sans le concours, l’engineering d’un certain nombre d’acteurs en Suisse, une partie des détournements du clan Sassou n’auraient pas été possibles». ». Un dossier est même concocté quelques mois plus tard par l’ONG la Déclaration de Berne/Public Eye intitulé « Un contrat raffiné », dont par exemple LE POINT (Paris, 10 février 2016) (7) se fait l’écho (toujours à charge uniquement). Le monde est petit … Depuis on sait que les dossiers communiqués aux médias reposent sur un réseau d’espionnage, la « PLATEFORME DE PROTECTION DES LANCEURS D’ALERTE EN AFRIQUE » (8). Créateur … Me Bourdon, toujours lui, encore lui !
Notes :
(1) Voir sur PANAFRICOM-TV/ LUC MICHEL: LE DOSSIER DIT ‘DES BIENS MAL ACQUIS’. UN ELEMENT DE LA DESTABILISATION L’AFRIQUE
sur https://vimeo.com/196975706
(2) Voir sur ECUATORIAL-GUINEA-TV/ LUC MICHEL: SUISSE VS GUINEE EQUATORIALE. LE VOLET SUISSE DE L’AFFAIRE DITE DES ‘BIENS MAL ACQUIS’
sur https://vimeo.com/189210992
Voir :
AFRIQUE MEDIA & EODE-TV/ LUC MICHEL DANS ‘LE DEBAT PANAFRICAIN’ EXPLIQUE POURQUOI LA SUISSE ATTAQUE MAINTENANT LA GUINEE EQUATORIALE DANS L’AFFAIRE DITE ‘DES BIENS MAL ACQUIS’
Et :
ECUATORIAL-GUINEA-TV/ LUC MICHEL: SUISSE VS GUINEE EQUATORIALE. LE VOLET SUISSE DE L’AFFAIRE DITE DES ‘BIENS MAL ACQUIS’
(3) Voir Luc MICHEL, EODE-TV & AFRIQUE MEDIA/ LE GRAND JEU (Saison I-5). OCCUPY HONG-KONG. REVOLUTION DE COULEUR EN CHINE
sur https://vimeo.com/114919746
(4) Cfr. Luc MICHEL, Déstabilisation de l’Afrique made in USA : Comment la presse africaine se fait intoxiquer par les ‘sondages’ des vitrines légales de la CIA !,
sur http://www.palestine-solidarite.org/analyses.luc_michel.280515.htm
Et /
sur EODE-TV/ LUC MICHEL ANALYSE LES RESEAUX AMERICAINS QUI MANIPULENT LA PRESSE AFRICAINE/ SUR RADIO SPUTNIK (6 JUIN 2015)
Podcast sur https://vimeo.com/130537885
(5) Cfr. « Pétrole et corruption: la Suisse cible le président congolais et son clan, LE TEMPS, Genève », 19 mai 2016.
(6) « Orion Oil, son pétrole et ses banques », LE TEMPS, Genève, 19 mai 2016.
(7) « Biens mal acquis – Congo : la Suisse entre dans la danse », LE POINT, Paris, 2 février 2016.
(8) Cfr. Luc MICHEL, ENQUETES SUR LA DESTABILISATION DE L’AFRIQUE (VI) : UN RESEAU D’ESPIONNAGE BASE AU SENEGAL : LA PLATEFORME DE PROTECTION DES LANCEURS D’ALERTE EN AFRIQUE
LUC MICHEL/
MAGAZINE INTERNATIONAL AFRIQUE MEDIA/
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